Bilan intermédiaire

Bilan intermédiaire

Le fil de cette "Rubrique de Jean Curnonix" – qui se déroule chronologiquement du bas vers le haut pour des raisons "technico-informatiques" – met jusqu’alors l’accent sur quelques unes des milliers d'observations effectuées par des témoins professionnels des activités aéronautiques, lesquelles très procédurières se voient depuis peu dotées du NARCAP – National Aviation Reporting Center on Anomalous Phenomena – organisme national américain créé en 1999/2000 pour le développement de la sécurité dans le domaine aéronautique au regard des Phénomènes Aériens Non identifiés. [ Son site Internet :http://www.narcap.org/ ]


Nous pourrions continuer à accumuler les témoignages et données objectives de ce secteur d’activité, mais les quelques exemples fournis suffisent, de mon point de vue, à établir la réalité du phénomène dans notre espace aérien que quiconque d’informé et de sensé ne peut plus nier ... à moins que ce quiconque nie aussi l’existence de sa propre existence et qu’il professe, à d’autres rêveurs que lui, vivre un rêve – un cauchemar ! – lorsqu’il se tape sur les doigts avec un marteau.

Les "déboulonneurs" d'ovnis font un travail de Pénélope, il leur faut persuader à chaque observation qu'il s'agit de confusion, d'hallucination, d’affabulation, canular ou imposture. Alors qu'une seule observation probante suffirait dans tout autre domaine à prouver l'existence physique d'un phénomène nouveau et, à tout le moins, à ouvrir le dossier et à l’étudier scientifiquement. Ce qui n'est pas le cas après 60 ans d'observations quasi quotidiennes, sur les 5 continents et toutes les mers et océans du monde.

Celles et ceux qui souhaiteraient en connaître davantage concernant les témoignages auront l’embarras du choix d'ouvrages sur le sujet en consultant notamment :

- Le Guide des Livres Ufologiques Francophones 1951 - 2005
- Auteurs : Didier CHARNAY et François HAYS
- Editions : Editions du 24 juin




Elles et ils constateront que notre planète connaît effectivement des intrusions, dans son environnement proche, d’engins concrets, bien réels, en "tôle et boulons", dont cinématique et dynamique sont hors de portée de nos technologies actuelles.
Elles et ils constateront que les déplacements de ces engins s’effectuent souvent à vitesse supersonique, vitesse vérifiée de nombreuses fois par des mesures radar, sans créer de bang supersonique.

Ce paradoxe – car il n’y a pas que celui de Fermi en la matière – incita en 1970 l’astrophysicien créateur de la première chaire d’astrophysique en France, l’académicien Evry Schatzman d’énoncer :
« Les ovnis ne peuvent exister car si c’était le cas ils se déplaceraient à vitesse supersonique sans faire de bang. Or nous savons que c’est impossible … »

Or la MHD (MagnétoHydroDynamique) est cependant une réponse à cette "impossibilité", qui engendre une refonte totale de la mécanique des fluides, et permet de réinterpréter de manière objective les déplacements des ovnis à vitesse supersonique en atmosphère dense … sans création de bang …bang que ne rapportent pas les récits d’observation d’ovnis, et il semble bien qu’une majorité des ovnis observés dans notre atmosphère s'y propulse en utilisant ce principe.

A la demande de plusieurs des participants de ce forum, je vais chambouler de plan de cette rubrique que j’avais en tête pour m’efforcer d’ores et déjà de vulgariser le plus simplement possible ce mode de propulsion.

Comme à l’habitude certains estimeront trop longs mes développements, ou trop nombreux mes crobards, d’autres trouveront au contraire une ou des lacunes dans mes explications.

Qu’aucun ne se prive d’émettre critiques constructives et / ou questions dans la partie "DISCUSSIONS GENERALES, forum ouvert à tous ! " d’OvniSpace.

Je me ferai un plaisir de tenir compte des premières et de répondre aux secondes dans la mesure de mes connaissances et de mes compétences qui possèdent leurs limites.

Cordialement,

Jean