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 MISES AU POINT.

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Serge
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valljean
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valljean
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MessageSujet: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyLun 16 Juil - 1:27

Bonjour à tous,
d'abord, merci à vous, Serge, Jean et Romain, pour vos recherches et élements fournis sur la discussuion " Roswell,Crashs : Divulgations officielles" .
Concernant ma recherche sur les livres en langue Française, sur Roswell et les crachs d'OVNIs, je voudrais savoir quel était le vrai degré de connaissances sur ce sujet prècis , dans les années 80, chez les ufologues ou chercheurs (Français ou pas), par rapport à ce que j'ai appris PERSONNELLEMENT , à partir de 1986, sur le sujet des EPAVES RECUPEREES par les americains.
J'aurais l'occasion de vous dire dans les jours qui viennent ( je m'y engage ! ) ce que j'ai appris sur les épaves d'OVNIs "récupérés" .
En 1986,donc, j'ai eu des informations qui m'ont été données par une personne que je connaissais personnellement ( Malheureusement disparue, fin 2002 ), concernant des épaves d'OVNIs "récupérées".
J'ai benéficié, de plus, grace à cette meme personne, d'autres révelations concernant les OVNIs et les Extraterrestres et leurs implications en rapport avec la planéte Terre, et l'espèce humaine.
Des REVELATIONS, pour moi, au sens où, en effet, il m'aurait été impossible d'en avoir la connaissance par l'intermédiaire d'un ouvrage, d'une publication, ou d'un média quelconque, alors qu'à l'époque ( 1986), j'&tais DEJA sensibilisé par le sujet " OVNIs et extraterrestres", depuis une quinzaine d'années, du fait de l'observation dont j'ai été le témoin , au début des années 70.
Témoignage dont j'ai déposé le récit sur la rubrique d'Ovnispace où quelques uns des forumistes ont aussi témoignés de leurs observations d'OVNIs.
Je fréquentais cette personne dont je vous parle plus haut, avant tout , dans le cadre d'une relation amicale.
Il lui arrivait, de temps à autres, de délivrer certaines informations , de sa propre initiative, ou en réponse à certaines de mes questions.
Mais cette personne m'avait prévenu qu'elle ne pourrait ou ne VOUDRAIT PAS répondre à certaines questions , du fait que TOUT ne peut etre dit, et que toute éventuelle revélation arrive " EN TEMPS ET EN HEURES" voulus.
Retrospéctivement, quand j'y repense aujourd'hui, ce que j'ai pu apprendre recoupe sur certains points, MAIS SUR CERTAINS POINTS SEULEMENT, des informations délivrées par les mystérieuses " LETTRES UMMITES".
Parmi tout ce à quoi je fais allusion, sur Ovnispace, depuis que j'y suis inscrit, ainsi que certaines de mes considérations, tout ce qui a pu apparaitre, à certains membres d'Ovnispaces, comme étant un peu trop AFFIRMATIF, m'est inspiré par ces revélations.
Et je me suis éfforcé de reproduire les informations que j'ai reçu , dans certains de mes messages, parmi la bonne centaine de messages que j'ai envoyé à ce jour.
TOUS ces messages sont SINCERES, et j'ai toujours PRIS GARDE de ne pas succomber à une certaine "enflure personnelle" , à des " déformations" engendrées par le temps, ou à des affabulations plus ou moins conscientes, qui auraient eu pour but, plus ou moins conscients ( eux aussi), de me faire " MOUSSER " ou de verser dans un sensationnalisme facile et irresponsable.
J'avais l'envie de dire ces choses, depuis quelques temps, c'est fait.
à suivre...
Bien à vous tous,
cordialement, Valljean Smile
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Romain
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Romain


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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMar 17 Juil - 1:11

Bonjour Valljean

Vivement que vous ayez toutes vos réponses.
Cordialement
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Serge
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Serge


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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMar 17 Juil - 11:31

Bonjour Valljean,

Bien sûr je suis intrigué par ces révélations dont tu nous parles depuis plusieurs mois d'une manière si catégorique que j'avais envie de te dire: soit on dit tout, soit on ne dit rien. Je trouve bizarre d'ailleurs que cet ami ne t'ait pas tout dit.

Je ne pense pas que ces révélations soient du type "Ils viennent de la planète Truc1234" et n'ont que quatre doigts à chaque main. Je pense plutôt à des preuves sur la présence ou de visite sur Terre de races extraterrestres depuis très longtemps. Ou des preuves de l'origine de l'espèce humaine.

Bien cordialement,
Serge
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valljean
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MessageSujet: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMer 18 Juil - 1:53

Bonjour à tous,
concernant l'affaire de Roswell, il y a eu le crash , bien connu aujourd'hui, qui s'est produit sur les terres du fermier Brazel.
Il apparait, d'après les recherches de chercheurs et ufologues Américains, ainsi que d'après les recherches de Gildas Bourdais, qu'un autre crash d'OVNIs ( on parle de 3 engins), auraient aussi eu lieu non loin de Roswell, à la meme époque, début Juillet 1947.
Mes propres sources d'informations , confirment que certains de ces engins volant ont été récupérés par les autorités Americaines.
Bien sur, ces engins ont été analysés " sous toutes les coutures", et il est possible que les recherches sur ces épaves aient abouties à certaines applications techniques ou technologiques expérimentales, destinées à des prototypes volants expérimentaux ...
MAIS d'après mes sources d'information, il y a eu un GROS PROBLEME sur lequel les américains ont buté :
Il a été impossible pour eux de déterminer quel était LE ou LES modes de propulsion de ces engins.
RIEN parmi tous les élements composant ces engins , ne semblait correspondre à un moyen de propulsion connu des Terriens ( rien d'etonnant ! ).
MAIS RIEN aussi, aucun élement récupéré, n'aurait permis de supposer qu'il puisse se rattacher à un mode de propulsion ou de déplacement , appartenant à une technologie avancée .
Dans le cas contraire, il aurait été possible de tenter de " décortiquer" ces élements appartenant à un mode de propulsion supposé.
Il aurait été possible de tenter d'en percer les secrets...
MAIS au lieu de cela, RIEN.
Bien sur, depuis cette époque ( les années 40-50), la science Terrienne, et plus particulièrement les théories " d'avant-garde" , dont la théorie défendue ici par Jean Curnonix, pourraient " ouvrir des débouchés" en rapport avec cette absence apparente de moyens de propulsion des OVNIs...
Cordialement, Valljean Smile
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Jean Curnonix
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMer 18 Juil - 4:07

Bonjour Valljean,

Puisque vous avez la gentillesse de m’évoquer, je saisis l’occasion que vous m’offrez ainsi de répondre.

Je vais ainsi résumer ce que je formulais sur le forum scientifique de Wanadoo / Orange, et que j’ai formulé sur ce forum OvniSpace.

1) Il est fort probable que nous ne saurons pas de sitôt si oui ou non le crash d’un engin de facture extraterrestre s’est produit à Roswell en 1947
2) Les informations que je transmets ne sont évidemment pas issues d’une activité de rétroingénierie effectuée sur un ou des engins extraterrestres en notre éventuelle possession
3) les informations que je fournis sont issues de travaux effectués à partir de témoignages (notamment tel que celui dont vous pouvez prendre connaissance via le lien : https://ovnispace.forumpro.fr/Sujets-Divers-c2/LA-RUBRIQUE-de-Jean-Curnonix-f17/Observation-du-Boeing-RB-47H-Stratojet-Lacy-17-t32.htm ) qui décortiqués se révèlent une mine de renseignements et de mesures scientifiquement exploitables.
4) Les engins de facture extraterrestres que nous observons dans notre environnement proche (vous savez que j’ai depuis longtemps dépassé le stade des discussions "byzantino-théologiques" sur l’existence ou la non existence des incursions de tels engins) utilisent pour la majorité d’entre eux, et je vais à l’essentiel, deux modes de propulsion :
- un mode MHD dans notre atmosphère partie intégrante du feuillet de notre univers observable F
- un mode ... sans propulseur dans le feuillet inobservable de notre univers jumeau F*

Ceci n’est donc pas sans rapport avec ce pourquoi me citez-vous et écrivez-vous :

Valljean a écrit:
[...] cette absence apparente de moyens de propulsion des OVNIs...

Cordialement,

Jean Very Happy

P.S. : Pour ceux que cela intéresse, quelques petits rappels sur le post suivant:
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMer 18 Juil - 4:10

Suite du post précédent

La MHD explique notamment les vitesses supersoniques en atmosphère dense sans bang supersonique, et le transfert hyperspatial F / F* ainsi que l’inverse F* / F expliquant les disparitions et apparitions instantanées, les virages à angle droit (90°) et les demi-tours (180°) sans décélération / accélération observables.

La MHD qui impose que le milieu dans lequel on se déplace soit électriquement conducteur nécessite d’ioniser l’atmosphère entourant l’aérodyne MHD >>> De ce fait, il n’est pas possible d’utiliser une mode de communication radioélectrique, électromagnétique, comme nous pouvons le constater lors de la rentrée atmosphérique de la navette spatiale de la NASA avec laquelle on ne peut pas communiquer, et réciproquement, car durant cette phase l’air s’ionise autour de la navette.

Les 2 feuillets F et F* étant géométriquement non-connexes, les photons de l’un ne peuvent pas "voyager" dans l’autre, et réciproquement. Les photons ont leurs géodésiques dans notre univers F, et les photons* ont leurs géodésiques dans F*.
La communication par ondes électromagnétiques n’est donc pas possible non plus entre F et F*.

Le seul mode de communication envisageable dans le cadre du Modèle Cosmologique Gémellaire de Petit, version "simplifiée" développée du Multisheet Cosmological Model de Sakharov, réside en l’exploitation de signaux modulés portés par des ondes gravitationnelles qui via l’univers jumeau F* permettent un gain de 200 par rapport au seul espace-temps qui nous est connu, celui de notre paradigme, de nos concepts actuels.
>>> Ceci explique l’insuccès de programmes de recherche tels que SETI dans le domaine des ondes radioélectriques, électromagnétiques.

Les civilisations qui nous visitent ont développé des systèmes mettant en œuvre et utilisant les ondes gravitationnelles, dont l’existence est incluse dans l’équation de champ de la Relativité Générale d’Einstein, mais que nous ne savons, nous, pas encore détecter ni utiliser.

P.S. : Enfin pour ceux qui se demandent comme est-ce possible une propulsion sans propulseur ?, quelques autres rappels sur le long post suivant qui reprend notamment les idées d’Andreï Sakharov et de Jean-Pierre Petit, deux des scientifiques dont les travaux augurent un nouveau saut paradigmatique, au-delà de celui effectué grâce à Albert Einstein :
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Jean Curnonix
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMer 18 Juil - 4:16

Suite du post précédent

Parmi la multitude de témoignages d’observation d’OVNI, on peut douter pour beaucoup d’entre eux des deux lettres NI (Non Identifié), parce que méprise, parce que illusion d’optique, parce que mensonge, parce que canular, parce que …
Mais pour beaucoup d’autres on peut douter de ne pas utiliser les deux lettres NI, parce que pas de méprise, parce que pas d’illusion d’optique, parce que pas de mensonge, parce que pas de canular, parce que pas de … et parce que observations corroborées par détection, mesure par des instruments fonctionnant suivant différents principes physiques.

Plaçons-nous donc dans l’hypothèse où nous sommes visités par des exocivilisations ayant des connaissances et des technologies que nous n’avons pas encore et qui maîtrisent le voyage interstellaire.

Cela heurte notre "conception des choses", et cela m’a heurté aussi notamment concernant la vitesse du véhicule qui, s’il évolue réellement dans notre hypersurface univers observable, devra à tout instant se déplacer à une vitesse inférieure à la valeur locale de c, dans l’espace et dans le temps, avec des distances … astronomiques à franchir. Les passagers de ces engins, puisque de nombreux témoignages attestent d’observations d’humanoïdes au côté de leur vaisseau, accepteraient-ils de rester enfermés tels des cornichons dans leur bocal, ou des gambas surgelées dans leur boîte, pendant des dizaines, ou des centaines d’années que durerait leur voyage aller-retour, avec, dilatation du temps de la Relativité Restreinte (RR) oblige et si ils fonctionnent comme nous, l’évolution de leur "chez-moi" ou la disparition de leurs proches constatée au retour ?

Qu’avons-nous appris au cours de nos études, qu’avons-nous ancré en nous au sujet de c, vitesse de la lumière ?
L'expérience d'interférométrie de Michelson-Morley montra que "l’éther" n’existe pas et que la vitesse de la lumière dans le vide a toujours la même valeur, dans toutes les directions. Puis via la "transformation de Lorentz", elle fut intégrée par la suite à la théorie de la RR qui traite du déplacement d’un mobile dans l’espace-temps en l’absence théorique de champ, c’est-à-dire à vitesse constante.
Appliquons notre fameux doute scientifique, et nous pouvons alors dire : oui, mais l'expérience de Michelson-Morley a été réalisée dans l’espace-temps "ici-maintenant". Quid de "ailleurs-pas maintenant" ?

Attachons-nous ensuite à découvrir où dans la Relativité Générale (RG) cette fois-ci, théorie qui traite de notre espace-temps quadridimensionnel en présence de champ, apparaît la nécessité absolue de la constance de c ?
L’équation fondamentale de la RG, l’équation de champ d’Einstein, s’écrit : S = χ T, qui signifie que localement la géométrie de l'espace-temps représentée par le tenseur d'Einstein S est conditionnée par l'énergie localement présente (sous toutes ses formes) représentée par le tenseur T.
Entre les deux, χ est une constante dite de couplage, d’ajustement.
Pour développer sa théorie, Einstein calcula la valeur (en m/kg) de cette constante de couplage.
Le résultat : χ = -8 П G /c², G étant appelée – bis repetita placent – la "constante universelle de gravitation" (П étant la lettre grecque dont la valeur est 3,14….)
Le facteur numérique -8 П étant constant, on voit donc que c’est le rapport G/c² qui doit être constant, mais cela n’implique nullement la constance de G et la constance de c dans le temps et l’espace comme cela est communément admis de manière … arbitraire !

En poussant encore notre doute, tout à fait légitime, nous pourrions émettre que G et c puissent, par exemple, varier avec le temps cosmologique t, et alors ces variations devraient obéir à :

G(t)/(c(t))² = constante.

Bref, nous pouvons retenir que le statut de "constante universelle" de c n’a pas de fondement scientifique : c n’est pas forcément une constante "partout-toujours" !

L’un des piliers "béton" de nos culture et conception apparaît singulièrement fissuré !

A l’époque des développements de la RG, Edward Arthur Milne émit une protestation en disant : « Vous concluez trop vite, vous étendez à l’ensemble du cosmos des lois que vous avez établies localement. Gardez bien en tête que tout ce que vous imaginez à si grande distance n’est qu’une simple construction mentale. »
Il faut également se souvenir qu’avant les découvertes de Edwin Hubble, l’univers connu était circonscrit à notre Galaxie.

Voyons maintenant qu’en est-il du Modèle Cosmologique Standard (MCS), issu de la relativité, censé fournir une explication et une description générale de la structure géométrique de l’univers … observable avec nos yeux et nos instruments d’observation actuels ?

Dans les grandes lignes ce MCS semble satisfaisant, sauf que lorsqu’on y regarde de plus prés, on trouve un certain nombre de problèmes, d’anomalies, que ce modèle n’élucide pas … à un point tel que ses tenants les éludent dans bien des cas.

Quelques exemples :
- le MCS ne dispose d'aucun modèle théorique de galaxie, ne "sait" ni comment ces objets se forment, pourquoi ils ont telle masse et non telle autre, ni comment ils évoluent. La forme de la courbe de rotation des galaxies, qui présente une forte vitesse périphérique, reste un mystère. Par exemple, les étoiles de la périphérie de notre Galaxie – le Soleil en est une – auraient dû depuis longtemps être centrifugées avec la vingtaine de rotations effectuées par la Voie Lactée depuis sa naissance.
- Les théories de la structure spirale galactique, uniquement basées sur des simulations numériques, restent très contestables car ad hoc dans ce MCS
- Dans le MCS, il existe un désaccord considérable entre les mesures de masse et les champs de vitesse mesurés (phénomène de masse manquante)
- Même dissonance concernant les amas de galaxies.
- Il existe de nombreuses galaxies très irrégulières non expliquées.
- Au plan de la cosmologie standard, il existe un certain désaccord entre l'âge de l'univers, estimé à partir des plus vieilles étoiles de notre Galaxie et à partir de mesures sur l'expansion (loi de Hubble, constante de Hubble).
- le MCS ne sait pas expliquer la structure à grande échelle (VLS), lacunaire, de l'univers, les galaxies se distribuant autour d'immenses vides (à l’image de bulles de savon jointives)
- On a mis en évidence de nombreux couples de galaxies qui violent la loi de Hubble (la plus proche possède un red shift supérieur à celui de la seconde, située sur l'arrière plan). Le MCS ne l’explique pas.
- On a découvert des sources à très fort red shift, dont la taille n'excède pas celle du système solaire et qui émettent autant d'énergie qu'une galaxie toute entière (quasar ou QSO). Source d'énergie inconnue. Des astronomes pensent que ces sources sont des noyaux de "galaxies actives" (galaxies de Seyfert). Mais quand on leur demande la définition d'une "galaxie active", dont le noyau semble en état d'explosion, ils répondent "qu'elle héberge un quasar en son centre".
- A raison d'un par jour, en moyenne, les astronomes enregistrent des flashes gamma. Mécanisme, distance et nature de l'émetteur : inconnus.
- Les effets de mirage gravitationnel, liés aux galaxies et aux amas de galaxies, ne correspondent pas aux masses des dits objets.
- Le MCS prévoit le trou noir, solution de l'équation de champ S = 0, mais également solution où la RG cesse d'être applicable ! Singulier paradoxe, dont on peut dire que ce qui milite contre le modèle, c'est la rareté des candidats trous noirs, aucun détecté depuis quarante ans, bien que nous nous servions de ces objets, en le mettant à toutes les sauces, pour "expliquer" n'importe quoi et toute autre chose.
- Autre anomalie non expliquée par le MCS : l’accélération radiale négative (ralentissement) subie par les 3 sondes Pioneer 10, Pioneer 11 et Ulysse dans leurs mouvements d’éloignement du système solaire.

Suite sur le post suivant :
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMer 18 Juil - 4:18

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Il peut apparaître intéressant de regarder du côté du Modèle Cosmologique Multifeuillet (MCM) d’Andreï Sakharov. L’absence d’anti-matière dans notre univers reste un problème fondamental qui amena Sakharov, en 1967, à proposer sa théorie offrant une explication à l’absence d’anti-matière dans notre feuillet d’univers (un survol, même succinct, serait ici un peu trop long).

Dans la lignée de celle-ci, Jean-Pierre Petit, Directeur de Recherches au CNRS aujourd’hui en retraite, construisit sa Théorie de l’Univers Gémellaire (TUG). L’homme peut ne pas laisser indifférent concernant ses prises de position sur les faits de société par exemple, mais quant à moi, étranger à la polémique, je me suis contenté d’étudier ses travaux scientifiques en topologie et en cosmologie notamment.
Pour aller à l’essentiel (la longueur de mes commentaires étant déjà conséquente et des explications trop "techniques" nécessitant un bagage que nous ne possédons pas tous forcément), les principaux éléments de la TUG :
- L’univers est composé de 2 feuillets jumeaux, notre feuillet F constituant l’univers observable, et son "conjugué" F*.
Ces feuillets sont conjugués (via une Variété squelette pour les matheux), avec une correspondance point par point et ces points conjugués peuvent être décrits par les mêmes coordonnées
- Appelons m la matière de F (donc la nôtre), et m* celle de F* : m attire m selon la loi de Newton, m* attire aussi m* selon la loi de Newton, mais m et m* se repoussent selon la loi de "anti-Newton"
- Les photons de l’un ne peuvent pas aller dans l’autre (la géodésique d’un photon appartenant à son feuillet, mais celle-ci subissant l’action gravitationnelle du feuillet conjugué. Le fait que les deux feuillets forment un ensemble disjoint, non-connexe, interdit à tout photon d'un feuillet de passer dans l'autre). Donc de notre univers observable F on ne peut recevoir de rayonnement électromagnétique de l’autre F*, et inversement.
Les 2 feuillets ne communiquent que par la gravitation, la matière de l’un repoussant la matière de l’autre : l'existence du feuillet conjugué F* ne se révèle à nous qu'à travers l'action sur le champ de gravitation.
- Les 2 feuillets sont CPT symétriques
- Les métriques conjuguées se déduisent du système d'équations :
S = χ(T-T*)
S* = χ (T*-T)

(Nota : Le modèle n'est évidemment pas en contradiction avec les tests de la RG. En effet, comme la matière m et la matière gémellaire m* se repoussent, là où il y a une concentration de matière (par exemple une étoile), dans la portion adjacente, conjuguée du feuillet F*, règne un vide poussé : la matière m y a "fait le ménage" en repoussant les masses m* au loin. Dans le voisinage du Soleil le tenseur T* (de la matière m*) est donc négligeable devant T (de la matière m) et l'équation de champ local devient S = χ T , c'est à dire l'équation d'Einstein, qui se présente alors comme une forme approchée de l’équation "gémellaire", mais plus un objet s’éloigne du Soleil (Pioneer 10, Pioneer 11, Ulysse, par exemple), plus le tenseur T* augmente … explication du ralentissement constaté)

- La densité d*, de la matière m*, serait de l’ordre de 64 fois celle de la densité d de notre matière m.
- L'étude de l’évolution des géométries conjointes des deux feuillets, indique une vitesse moyenne d'agitation thermique, V*th, dans le feuillet F*, quatre fois plus élevée que dans le nôtre F.
- Notre feuillet F, entropique, est en expansion accélérée. Sa température de fond de rayonnement à 2,7°K est en diminution.
Le feuillet conjugué F*, néguentropique – son temps "rétrochrone" du nôtre – , est en expansion décélérée. Sa température de fond de rayonnement est de l’ordre de la centaine de °K
- Entre couple de points conjugués (A ;B) et (A* ;B*), la distance D* dans le feuillet F* est plus courte que la distance D dans notre feuillet F, d’un facteur de 4.
- La matière gémellaire m* se regrouperait selon d'immenses conglomérats, rayonnant dans l'infrarouge, structurés comme d'immenses protoétoiles sphéroïdales, mais dont le temps de refroidissement excéderait alors l'âge de l'univers. Ces conglomérats fonctionneraient comme des protoétoiles qui ne se seraient jamais allumées (pas de réaction de fusion nucléaire). Repoussant notre propre matière, ils seraient responsables de la VLS, de la structure à très grande échelle de notre propre matière, lacunaire, agencée autour d'immenses bulles vides dont le diamètre caractéristique est de l'ordre de la centaine de millions d'années-lumière, et dont l'existence, en dehors de cette explication par le modèle gémellaire (simulations numériques) reste assez … inexplicable.
- La vitesse de la lumière c* dans le feuillet F* pourrait être de l’ordre de 50 fois la nôtre c (15 millions de km/s)
-etc.

Le modèle cosmologique issu de cette TUG explique les points que le MCS n’élucide pas, et en outre exclut le "trou noir", objet mathématique corollaire d’un mauvais choix de coordonnées aboutissant à une singularité.
Le contexte gémellaire change totalement le scénario de l'étoile à neutrons déstabilisée qui s’effondre.
Dans le Modèle Cosmologique Standard, quand une étoile à neutrons grossit, alimentée en matière extérieure, elle atteint une masse critique d’environ 2,5 fois la masse du Soleil, sa pression à coeur devient trop forte. Les neutrons ne peuvent plus se supporter. Alors, atteignant le rayon de Schwarzschild, elle est censée s'effondrer sur elle-même sans qu'aucun phénomène physique connu puisse être invoqué pour contrarier cet effondrement, ce "collapse gravitationnel" aboutissant au trou noir selon le MCS.
Mais il est une chose peu connue, y compris des spécialistes de cosmologie, alors que c'est un travail qui date des années 1940 : il existe une autre criticité qui se manifeste juste avant que le rayon de l'étoile n'atteigne la valeur de Schwarzschild. C'est une valeur très proche puisqu'elle n'est que de 5% inférieure. Lorsque le rayon de l'étoile l'atteint, la pression tend vers l’infini au centre de l'étoile, en vertu du modèle "TOV" construit par Tolman, Oppenheimer et Volkov (c'est l'Oppenheimer de la bombe US).
Selon la Théorie de l’Univers Gémellaire, cette montée vertigineuse en pression crée au coeur de l'étoile à neutrons un "pont hypertorique" entre les feuillets F et F*.

Que se passe-t-il alors ?

Premier scenario : une étoile à neutrons reçoit un afflux de matière en provenance d'une étoile compagne (vent stellaire), jusqu’à ce que la pression à cœur s'envole vers l'infini. Un pont hyperspatial s'ouvre alors en son centre, par lequel cette matière en excès est évacuée. Lorsqu'elle se retrouve dans le feuillet jumeau F*, sa masse m s'inverse en m*, elle se disperse, repoussée vigoureusement par l'étoile à neutron, dont l'action s'y fait sentir, et où celle-ci se comporte alors, pour cette masse transférée, comme un objet répulsif. L'évacuation via le passage hypertorique s'effectue à vitesse relativiste et l'importance de cette structure (la surface de la sphère de gorge au centre de l’hypertore) dépendrait du débit à assurer. Si l'apport est continu, le pont hypertorique se comporterait comme un "trop plein" fonctionnant en permanence et assurant un débit de fuite.

Deuxième scenario : Fusion de deux étoiles à neutrons. Le processus est alors beaucoup plus violent. Le pont hypertorique se crée et croît très rapidement, à vitesse relativiste, en avalant une bonne partie de la masse. Tout ceci avec émission d'ondes gravitationnelles et "sursaut gamma".

Le voyage interstellaire :

La structure d’espace-temps gémellaire, avec régions conjuguées, et la topologie hypertorique permettent d’envisager des transferts de feuillet F à feuillet conjugué F*, sans altération (c'est-à-dire sans singularité de l’espace-temps) des portions intéressées, via géodésiques passant par la sphère de gorge (exemple du collapse d’une étoile à neutrons, qui en plus permet d’expliquer les flashes gamma dont la fréquence de détection est en moyenne quotidienne)

L’équation de champ S = χ T permet de comprendre que si l’on augmente localement la partie droite tenseur T d’énergie, on augmente la partie gauche tenseur S de géométrie locale : la courbure de l’espace local augmente alors que la pression augmente jusqu’à atteindre la valeur critique du modèle TOV.

Imaginons qu’une "exocivilisation" possède la technologie permettant de reproduire artificiellement ce transfert hyperspatial. Comment ces "voyageurs" pourraient-ils opérer ?
Si les constantes de la physique (on a vu ce qu’il en est de la "constante universelle c") sont fortement modifiées par une forte augmentation de pression (la pression représente une densité d'énergie), ils ont dû chercher comment exploiter localement cette augmentation de densité d'énergie. Les atomes, les molécules, possèdent des états métastables. Un système métastable n’est pas stable en théorie, mais pendant un instant il paraît l’être en raison d’une vitesse de transformation très faible. L'hélium, par exemple, a un état métastable bien connu. Si on fournit de l'énergie à l'hélium, celle-ci peut être stockée de cette manière.
Imaginons un engin spatial, aux alentours de la Terre, qui émet un "cocon" de gaz : des grasers (Gamma Ray Laser) émettent alors une impulsion forte de rayons gamma qui sont absorbés par les noyaux du gaz. Si le niveau d'excitation est métastable, les noyaux ne peuvent pas dissiper cette énergie et l’état de criticité est atteint.
De minuscules ponts spatiaux se forment et fusionnent ensemble le long d'une surface fermée. Le contenu du volume v et le contenu du volume v* conjugué de l'espace jumeau sont échangés.
Ce volume raréfié est ensuite rapidement comblé par des molécules d'air.
Pour les passagers, la Terre a disparu (les photons ne peuvent pas voyager d'un feuillet à l'autre, pour les raisons géométriques déjà évoquées). Pour les observateurs terrestres, l’engin spatial semble avoir disparu aussi.
Le transfert dans l'univers jumeau change "la masse apparente" (m est changé en m*). Alors, qu’arrive-t-il à l’engin après son transfert dans l'univers jumeau ?

Au lieu d’être attiré par le champ de gravité terrestre, l’engin est repoussé par "la Terre invisible". Si le transfert hyperspatial est fait de nouveau, mais en sens inverse, l’engin réapparaît, soumis à nouveau à la gravitation terrestre. L'alternance rapide de transferts hyperspatiaux produirait un "effet d'apesanteur" ou "d'antigravitation" suite aux deux mouvements (attraction dans notre feuillet et répulsion quand l’engin est dans le feuillet jumeau).
En outre, ce changement rapide du signe de la masse apparente produira des ondes gravitationnelles. Les "exopassagers" pourraient ainsi communiquer avec des ondes gravitationnelles simplement produites par une masse soumise à un transfert hyperspatial local oscillant … ce qui pourrait expliquer l’insuccès du programme SETI (et nous ne savons en outre toujours pas détecter les ondes gravitationnelles).

Ainsi, et pour résumer, les avantages sont-ils triples pour les voyages interstellaires :
- la distance entre 2 couples de points conjugués ( A ; B ) et ( A* ; B* ) n’est pas la même dans F et F* . Elle est plus courte dans F* (d’un facteur pouvant être de 4)
- les calculs induisent que la vitesse de la lumière c* , dans le feuillet F*, est plus élevée que c (d’un facteur pouvant atteindre 50)
- aucune propulsion n’est nécessaire pour accélérer : à toute masse au repos, m, est associée sa longueur de Compton, λ , telle que : λ = h / mc
Une particule, un proton par exemple, de l’engin transféré dans un univers "plus petit" subirait un "effet Gulliver" et apparaîtrait aux protons* (des noyaux d’hydrogène* ou d’hélium*), appartenant au feuillet jumeau F*, avec une longueur d’onde augmentée et une fréquence diminuée.
Cette diminution de fréquence correspondrait à une perte d’énergie qui ne peut pas être en raison d’une loi de l’espace-temps : la loi de conservation de l’énergie-matière, également inscrite dans l’équation de champ d’Einstein.
Il faut donc que la particule transférée se matérialise dans le feuillet F* avec une longueur d’onde diminuée, c'est-à-dire avec une fréquence augmentée, c'est-à-dire avec une vitesse relative augmentée.
Et les passagers n’en sont nullement incommodés, leurs particules subissant le même traitement … idem que l’occupant d’un ascenseur en chute libre dans le champ de gravitation terrestre
Ainsi, un engin transféré dans le feuillet jumeau F* y serait doté, pour nous restés dans notre feuillet F, d’une vitesse relativiste par rapport à notre limite c, subissant une accélération sans propulseur.

Pour les 3 raisons indiquées, la durée du voyage interstellaire serait phénoménalement plus courte que nous le pensons de manière ... conventionnelle.
Des systèmes planétaires distants de 10 ou 100 années-lumière, dans notre univers observable F, pourraient être joints en quelques semaines à quelques mois en utilisant ce transfert hyperspatial dans notre univers jumeau F*.

D’autre part ce modèle gémellaire est instable, provoquant par exemple des expansions accélérées dans certaines régions de notre univers observable F, et à l’inverse une contraction dans les régions conjuguées de celles-ci dans l’univers inobservable F* : ceci permet d’expliquer les vagues d’observations d’ovnis.
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMer 18 Juil - 13:48

Tout cela est très intéressant, merci Valjean, et merci Jean. Soleil

Juste 2 questions qui me sont venues (n'étant pas scientifique) :

Jean Curnonix a écrit:
En poussant encore notre doute, tout à fait légitime, nous pourrions émettre que G et c puissent, par exemple, varier avec le temps cosmologique t, et alors ces variations devraient obéir à :
G(t)/(c(t))² = constante.

Dans ce cas là, est-ce que ce n'est pas la notion de "temps cosmologique t" qui devient à son tour une constante tout aussi "arbitraire" ?


Jean Curnonix a écrit:
Les 2 feuillets ne communiquent que par la gravitation (...)
----
Imaginons qu’une "exocivilisation" possède la technologie permettant de reproduire artificiellement ce transfert hyperspatial.

Comment, physiquement, la matière pourrait s'échanger F <-> F* ? Imaginons un atome d'hydrogène h, comment le faire passer de l'autre coté du miroir ? (en echange d'un h* ?) Garderait-il son "identité", je veux dire y a t-il une continuité causale, a t-il son "temps propre" ? puis revenir (échange encore ?) en se disant "c'est bien moi qui suis parti et revenu avec mon électron qui a continué son manège et mon proton et tout"... ? Malade
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyMer 18 Juil - 18:21

Bonjour Valljean,

Gildas Bourdais dans son livre "OVNIS : La levée progressive du secret " parle du livre de Frank SCULLY paru aux Etats-Unis en 1950 (le premier livre sur les OVNI en français) où il est question de récupération de plusieurs soucoupes accidentées. Dans ce livre de Gildas Bourdais il est aussi question de la journaliste américaine Dorothy Killgallen et du Docteur brésilien Olavo Fontes. En cherchant sur Internet, chacun pourra y trouver des renseignements intéressants sur les crashs d'OVNI.
Je suppose que les révélations que tu dois nous faire ne concernent pas ces crashs, car ces crashs sont tout de même assez connus pour quiconque s'intéresse un peu aux OVNI. Alors tes révélations consistent peut-être dans le moyen de propulsion des soucoupes ?

Bien cordialement,
Serge
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MessageSujet: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyJeu 19 Juil - 1:57

Bonjour Serge, Jean, Maxbill,
si tu as bien lu mon message daté du Mer 18 Juill à 0:53 , Serge , j'y fais une révelation ( d'après mes sources) sur l'analyse des épaves d'OVNIs, et non pas sur les Crashs eux-meme.
Concernant les moyens de propulsion des OVNIs, il se trouve QUE J'AI AUSSI béneficié d'informations sur ....JE DIRAIS leurs modes de déplacement interstellaire, concernant les très longues distances et les moins longues ...
En disant ces notions de distance, je garde volontairement une terminologie en rapport avec les concepts spaciaux-temporels classiques, de la cosmologie .
Je dois reconnaitre , que lors des communications qui m'ont été faites sur ce sujet, en 1986 et 1987, je n'étais pas de formation scientifique, ( pas plus aujourd'hui, bien que je sois un "amateur intéréssé" ).
Mais l'on m'a bien dit que : L'energie à la base du déplacement des OVNIs, était , en quelque sorte " puisée" dans l'espace interstellaire lui-meme, et qu'on pouvait la qualifier D'ENERGIE COSMIQUE...
Excusez-moi, mais je me rends compte qu'il va falloir que j'interrompe mon message pour ce soir, car je dois me lever tôt demain matin...
Je continuerais ce que j'ai à dire sur les modes de déplacement des OVNIs, demain soir...
Cordialement, Valljean Smile
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyJeu 19 Juil - 3:28

Bonjour MaxBill,

Citation :
Dans ce cas là, est-ce que ce n'est pas la notion de "temps cosmologique t" qui devient à son tour une constante tout aussi "arbitraire" ?
Je ne saisis pas bien votre question.
Ce que j’indique est que, dans l’équation de champ d’Einstein, c’est le rapport G/c² qui doit être constant, mais ni G, ni c
Dans l’hypothèse ou ces 2 paramètres varient avec le temps, le rapport G/c² devra rester constant >>> ce que j’écris sous la forme : G(t)/(c(t))² = constante , G(t) étant alors le paramètre de proportionnalité de la loi de la gravitation de Newton en fonction du temps t dans notre univers observable, et c(t) étant alors la vitesse de la lumière en fonction du temps t dans notre univers observable.

t n’est pas une constante, mais je pense comprendre que vous vouliez exprimer la constance de l’unité de temps (la seconde, par exemple). Or nous savons depuis la Relativité que le temps ne s’écoule pas de la même manière suivant, par exemple, le champ de gravité dans lequel on le mesure (RG), et la vitesse par rapport au repère dans lequel on le mesure (RR).
Ainsi, sur Terre, aux pôles et à l’équateur le temps ne s’écoule pas de la même manière. Le diamètre polaire est inférieur au diamètre équatorial (vous êtes plus proche du barycentre – ≈ centre de gravité – de la Terre aux pôles que sur l'équateur), et à l’équateur vous tournez autour de l’axe polaire de rotation à la vitesse d’environ 1 670 km/h.
Au global, une horloge située à l'équateur retarde, bat la seconde moins vite qu’une horloge située à l’un des pôles c'est-à-dire que la seconde est plus longue à l’équateur.

Citation :
Comment, physiquement, la matière pourrait s'échanger F <-> F* ? Imaginons un atome d'hydrogène h, comment le faire passer de l'autre coté du miroir ? (en echange d'un h* ?) Garderait-il son "identité", je veux dire y a t-il une continuité causale, a t-il son "temps propre" ? puis revenir (échange encore ?) en se disant "c'est bien moi qui suis parti et revenu avec mon électron qui a continué son manège et mon proton et tout"... ?
Quand je pense MaxBill que vous écriviez bien imprudemment :
Citation :
(...) vous avez dû remarquer que "le dossier ovni" est plus léger que l'air. Ma documentation est largement suffisante pour que je prenne le risque de ce que je dis.
Le "dossier ovni" est bien plus épais que vous ne l’imaginez, et les scientifiques civiles (et militaires) qui y travaillent et y collaborent bien plus nombreux que vous ne le croyez ... mais, et je l’exprime à nouveau pour la n-ième fois, il n’y a pas moyen plus sûr de torpiller sa carrière scientifique que d’avouer travailler sur ce dossier : un nombre minime de retraités dévoile l’avoir fait et continuer de le faire.
Bref, cette parenthèse faite, je vais m’efforcer d’étoffer votre documentation sur ce sujet auquel vous vous intéressez « depuis quelques mois » (... lorsque d’autres y travaillent depuis des années, et je n’évoque pas des ufologues : il n’existe pas de diplôme d’ufologie qui est une discipline, louable, les choses étant ce qu’elles sont, et non une science s’enseignant à l’université).

Résumons donc succinctement quelques notions sur le cosmos gémellaire.

Le point de départ est représenté par les travaux de Andreï Sakharov concernant l’absence d’antimatière primordiale dans notre univers observable F. Celui-ci, selon la théorie du big bang, devrait en comporter autant que de matière dont vous, moi, nous tous, avec les objets qui nous entourent, sommes constitués.

Sakharov émit donc l’hypothèse que le cosmos soit constitué, imbriqués l’un dans l’autre, d’un univers observable F, le nôtre, constitué de matière M, et d’un univers inobservable F* constitué d’antimatière, en même quantité que notre matière, avec deux flèches du temps opposées.
[Nota : Relisons un petit extrait de son discours de réception du prix Nobel, en 1975 :

« Je soutiens l’hypothèse cosmologique selon laquelle […] d’autres civilisations, y compris certaines plus performantes, sont inscrites en nombre infini de fois sur les pages suivantes ou précédentes du Livre de l’Univers. […] nous avons surgi pour un instant du néant de l’inconscience obscure à l’existence matérielle. Nous devons respecter les exigences de la raison et créer une vie qui soit digne de nous-mêmes et des buts que nous percevons à peine. »
(Œuvres scientifiques, Andreï Sakharov, Editions Anthropos, 1984)]

Vous pourriez ainsi penser que notre jumeau F* soit constitué de notre antimatière.
Mais ce jumeau F* est rétrochrone du nôtre F, car T-symétrique (je développe plus loin), ces deux univers F et F* ayant des "temps opposés" … et nous allons nous efforcer de comprendre de quoi s’agit-il !

Allons, de manière la plus simple possible, à l’essentiel.

- F et F* sont dits conjugués.
- Dans l’univers observable F les masses de type M s’attirent suivant la loi de Newton.
- Dans l’univers inobservable F* les masses de type M* s’attirent aussi suivant la loi de Newton.
- Dans l’ensemble (F + F*), c'est-à-dire le cosmos représenté par ces 2 univers imbriqués l’un dans l’autre, les masses M et M* se repoussent suivant la loi de "anti Newton"

Nous sommes maintenant contraints d’évoquer la "CPT symétrie".

Par CPT symétrie, entendre :

- Une particule CPT symétrique, dans l’univers F*, chemine à "rebrousse temps". C’est la T-symétrie.

- Elle est énantiomorphe, inversée droite-gauche, "en miroir". C’est la P-symétrie.

- Toutes ses "charges" sont inversées, y compris sa charge électrique, si elle en possède une (le photon * par exemple n’en possède pas). C'est la C-symétrie.

Pour nous, la CPT symétrique d'une particule est une particule du jumeau F*.
C'est une particule gémellaire. Comme il y a T-symétrie, sa masse est automatiquement inversée, résultat initialement obtenu par le mathématicien Jean-Marie Souriau en 1974. Masse et énergie de la matière du jumeau sont négatives.

La C-symétrique d'une particule est son antiparticule.

Le physicien Richard Feynman avait de son côté trouvé que la PT-symétrique d'une particule se comportait comme une antiparticule. Exact, mais il s'agit de … l'antimatière du jumeau, à masse négative, puisqu'il y a aussi T-symétrie. Tout cela émerge d'histoires de groupes.

En fait, la CPT-symétrique d'une particule de matière (rétrochrone, en miroir et dotée de charges opposées) n'est pas identique à notre propre matière, puisque la T-symétrie implique l'inversion de la masse. C'est une particule à ... masse négative.

La PT-symétrique, ou "antimatière de Feynman" est "l'antimatière du jumeau". Elle aussi possède une masse négative. Cette matière gémellaire et son antimatière apportent des contributions négatives au champ de gravité. Ainsi, comme subodoré aussi par les "cordistes" (modèle "E8 x E8", lire E8 croix E8, de la "M Theory") ces deux univers ne communiquent qu'à travers la force de gravitation.

Il faut savoir qu’il existe 2 types d’antimatière :
- l’antimatière selon Dirac, celle que l’on sait produire dans nos laboratoires et dont seule la charge est inversée (il s'agit de celle que nous évoquons lorsque nous parlons vulgairement d'antimatière)
- l’antimatière selon Feynman

Faisons un premier point au stade où nous en sommes arrivés.

Nous allons prendre un exemple avec 3 paramètres (charge électrique, masse, et spin) d’une particule, un proton par exemple, et ses "équivalents" :

A] - Dans notre univers observable F :

1) - Matière, exemple du proton :
Charge électrique = 1
Masse = Mp
Spin = 1/2

2) - Antimatière, exemple de l’antiproton :
Charge électrique = –1
Masse = Mp
Spin = 1/2

B] - Dans le jumeau F* :

1) - Matière*, exemple du proton* :
Charge électrique = – 1
Masse = – Mp
Spin = 1/2

2) - Antimatière*, exemple de l’antiproton* :
Charge électrique = 1
Masse = – Mp
Spin = 1/2

Vous voyez, à l’aide de ce "tableau" très simplifié, que la matière du jumeau B] 1) possède bien la même charge électrique que notre antimatière A] 2), par contre les masses sont inversées.

Au sein du cosmos, donc dans les 2 univers F et F*, on a quatre types fondamentaux de "matière".

- Deux dans notre univers observable F : de la matière, et de l'anti-matière "au sens de Dirac" C-symétrique qui a la même masse et énergie que la matière dont elle est le symétrique (elle est rare, et on sait en créer en labo)

- Deux autres dans l’univers jumeau inobservable F* : des particules à énergie et masse négatives. Ce sont des particules de matière* et des particules d'antimatière* "au sens de Feynman". La dualité "matière-antimatière" existe aussi dans l’univers jumeau F*

Continuons.

Inverser le temps équivaut à inverser l'énergie et la masse.

On peut formuler que deux particules qui interagissent avec des flèches du temps inverses se repoussent, gravitationnellement.

Les grandeurs t et t* ne sont que des coordonnées, et rien d'autre.
Il ne s'agit que de l'inversion de la coordonnée temps, pas du temps propre.
Grâce aux travaux de Souriau (Structure des Systèmes Dynamiques, 1974, Dunod, page 198, équation 14.67) on sait qu'inversion de la coordonnée temps et inversion de la masse (et de l'énergie) sont des phénomènes conjoints.
[Nota : pour les spécialistes, l'inversion du temps résulte de l'action des "composantes antichrones du groupe de Poincaré". Quand à l'inversion de la masse et de l'énergie elle découle de l'action du groupe sur son espace des moments. ]

Ainsi cheminer pendant un temps dans l’univers F* où la coordonnée temps t* est inverse de la nôtre" signifie simplement que pendant le temps où elle est dans le jumeau une masse M, devenue M*, contribue négativement au champ de gravité relativement aux particules restées dans son univers F d'origine, le nôtre observable.

Inverser le temps équivaut "simplement" à inverser l'énergie et la masse.

Si vous "mettez les pieds" dans l’univers F*, votre montre ne tournera pas à l’envers !

L’antimatière selon Dirac est C-symétrique, lorsque l’antimatière selon Feynman est PT-symétrique ... dans le cadre du modèle standard !
Pour Feynman, l'antimatière est une nécessité de la mécanique relativiste, induite par la transformation de Lorentz, et correspond à de la matière bien réelle et ordinaire vue sous un angle particulier. Plus précisément, l'antimatière (l’antimatière selon Feynman) est le résultat de l'observation de la matière après une transformation PT combinée, c'est à dire inversion de tous les signes des axes de l'espace-temps de Minkowski : x, y, z, et t (ou ct).

L'inversion de x, y et z revient à effectuer une symétrie-miroir suivie d'une rotation de 180° par rapport à un axe normal (perpendiculaire) au plan du miroir. La première opération transforme les repères directs en indirects, la seconde ne modifie pas leur orientation. Le total donne donc bien une inversion de la droite et de la gauche (conjugaison de parité).

L'inversion du temps est en fait plus complexe que le simple changement de t en -t : elle consiste à étudier l'évolution d'un système depuis un état final vers un état initial.

D'après Feynman, « Opérer sur un état avec P et T revient au même qu'opérer avec C, c'est à dire que C = PT » ... toujours dans le cadre du UN univers (par opposition à 2 univers jumeaux imbriqués l’un dans l’autre) du modèle standard !

Nous sommes tellement pénétrés de manière profonde par nos concepts culturels qu’il nous est difficile de raisonner sans la déformation des lunettes qu’ils constituent.

Enlevons nos lunettes, et pensons à un Twin Bang, dans le cadre du Modèle Cosmologique Gémellaire (MCG), et non plus à un Big Bang dans le cadre du MCS >>> dans un feuillet, le nôtre F, on trouve la matière M, et dans l’autre feuillet F*, on trouve la matière M* qui possède bien la même charge électrique que notre antimatière (selon Dirac, et qui ne peut exister de manière durable dans F), par contre dont la masse est inversée. L’absence d’antimatière (selon Dirac) dans l’univers observable F devient alors un faux problème dans le cadre du MCG ...

Concernant votre question :
Citation :
Comment, physiquement, la matière pourrait s'échanger F <-> F* ?
De manière naturelle le transfert ne peut s’effectuer que de F, notre feuillet d’univers observable, vers F*, le feuillet inobservable, lorsque :
- une étoile à neutrons reçoit un afflux de matière en provenance d'une étoile compagne (vent stellaire), jusqu’à ce que la pression à cœur s'envole (ce que j’ai qualifié de « Premier scenario » dans un post ci-dessus)
- deux étoiles à neutrons fusionnent (ce que j’ai qualifié de « Deuxième scenario » dans un post ci-dessus)

La réciproque, transfert de F* vers F, ne peut pas exister de manière naturelle, mais seulement de manière artificielle comme indiqué dans un post ci-dessus pour le transfert hyperspatial d’un engin interstellaire.

En effet selon le MCG, la matière gémellaire M* se regroupe en immenses, gigantesques conglomérats, rayonnant dans l'infrarouge, structurés comme d'immenses, gigantesques protoétoiles sphéroïdales, mais dont le temps de refroidissement excéderait l'âge de l'univers et n’ayant pu suffisamment s’effondrer sur elles-mêmes : ces conglomérats fonctionnent comme des protoétoiles qui ne se sont jamais allumées (pas de fusion nucléaire) ... et donc pas d’étoile à neutrons* dans F*.
Repoussant notre propre matière M, ces gigantesques conglomérats sont responsables de la VLS (la structure à très grande échelle de notre propre matière) lacunaire, agencée autour d'immenses bulles vides dont le diamètre caractéristique est de l'ordre de la centaine de millions d'années-lumière, et dont l'existence, en dehors de cette explication par le modèle gémellaire reste assez … inexplicable.

Donc pas d’étoiles dans F*, pas de supernovae*, pour transmutation de l’hydrogène* en éléments* lourds ... donc pas de vie* et pas de ET* ni de MaxBill* !


Cordialement,

Jean Very Happy

P.S. : si vous êtes intéressé par ces notions relatives au cosmos gémellaire, je vous suggère la lecture de ce bouquin de vulgarisation :

- Titre : ''On a perdu la moitié de l'univers''
- Auteur : Jean-Pierre Petit
- Editions : Albin Michel (on le trouve aussi en livre de poche chez Hachette Littératures)
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyJeu 19 Juil - 21:50

Bonjour Serge,

Citation :
[...] où il est question de récupération de plusieurs soucoupes accidentées. [...]sur les crashs d'OVNI. [...]car ces crashs sont tout de même assez connus [...]


Vous aurez remarqué que dans le domaine de l’ufologie, DES crashes, de nombreux crashes d’ovnis sont évoqués.

J’avais une fois commencé une étude statistique sur les crashes d’ovni ... le total de 253 auquel j’étais rapidement arrivé (et ma liste était certainement loin d’être exhaustive) m’avait fait laisser tomber cet axe de recherches.
On ne peut être que très dubitatif quant à ces crashes ... qui seraient proportionnellement plus nombreux que ceux de nos avions de ligne sillonnant nos cieux.

Concernant "l’affaire Roswell", si cette région a effectivement été le théâtre d’un crash d’ovni, l’axe de réflexion principal à explorer est de mon point de vue celui du "coup de la panne", de l’accident volontaire (et avec un "tacot", pas une F1 dernier modèle !) pour étude de la réaction de notre espèce. Nous serions dans le domaine des intentions sociologiques.

L’avoir alors fait lors d’un orage ne serait pas idiot pour un "coup de la panne" ... car il ne vaut mieux pas être au milieu des éclairs de la foudre avec un engin entouré d’air que l’on ionise volontairement fortement.
On peut supposer qu’une exocivilisation maîtrisant le voyage interstellaire le sait !

Mais au-delà, cela pose le problème de : qui y avait-il à l’intérieur ? ... les fameux passagers EBE-1, EBE-2, etc., récupérés !
Des "volontaires kamikazes", des "robots biotiques", ... vaste programme qui ne peut que diviser un peu plus les gens qui réfléchissent sur le cas.
Nous sommes dans le domaine des "pures" supputations.

Cordialement,

Jean Very Happy
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyJeu 19 Juil - 22:45

Bonsoir Jean,

C'est vrai que le crash de Roswell n'est pas unique. Il y a eu le crash de Maury Island, le crash de Varginha...et d'autres. Depuis longtemps, c'est crash après crash.

Bien cordialement,
Serge
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyJeu 19 Juil - 22:52

Bonsoir Jean,

Permettez-moi de rebondir sur votre remarque bounce

Jean Curnonix a écrit:
Nous serions dans le domaine des intentions sociologiques.

et d’échafauder une hypothèse : et si JJR, Valljean ou moi-même, par exemple, avions été choisis pour être témoins de ces phénomènes inexpliqués qui nous ont tant marqués ?

Pensez-vous que cette idée soit complètement dingue ? Malade

Cordialement,
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 1:01

Bonsoir Leia

Concernant « le coup de la panne avec un tacot » pour l’éventuel crash de Roswell, dont j’émettais l’hypothèse spéculative qu’il puisse être du domaine des intentions sociologiques, vous avez certainement mémorisé mon point de vue concernant :
- ce que je considère comme de vaines recherches concernant les "pourquoi ?" : une théorie explicative en terme d’intentions sociologiques des auteurs de ces visites est difficile à concevoir en raison de la disparité de niveau des consciences respectives
- ce que je considère comme à notre portée concernant les "comment ?" : un modèle scientifique relatif au phénomène ovni quant à ses aspects d’engins émanant d’exocivilisations est à la portée de notre intelligence, de nos connaissances (modèle cosmologique gémellaire, antimatière, supraconductivité, magnétohydrodynamique, etc.).

Si l’on mixte les deux (réflexions sur les intentions d’exocivilisations ne s’étant pas autodétruites ni entredétruites puisqu’elles nous visitent (HET) & modèles scientifiques issus du décorticage des observations visuelles et surtout instrumentales) tout au plus est-il, selon moi, pertinent de formuler que les passagers de ces engins nous observent, stimulent nos performances intellectuelles avec un problème qui n'excède que de peu nos capacités – leur "jeu de cache-cache" a permis le modèle scientifique que j’évoque avec le Modèle Cosmologique Gémellaire et le modèle d’aérodyne MHD.

Au-delà, évidemment toutes les spéculations philosophiques (dans le bon sens de l’expression) sont possibles notamment que des représentants de l’espèce humaine (vous, JJR, Valljean , etc) ont été « choisis » ... mais je ne le pense pas.
Les témoins d’observations se sont trouvés au bon endroit au bon moment.

Le seul « contrôle » qu’il me semble rationnellement envisageable de la part de ces éthologues est qu’"ils" ne resteront pas "les bras croisés" face à la disparition de notre espèce comme nous commençons, nous, à le faire vis-à-vis d’espèces végétales ou animales en voie de disparition, alors que nous pourrions très bien vivre sans, et que nous pourrons, de plus en plus, vivre sans.
Mais notre conscience ayant évoluée, nous ne laisserions probablement pas aujourd’hui disparaître le dodo de l’Ile Maurice, par exemple.
Vous remarquerez qu’"ils" laissent faire (ce qui ne les a probablement pas empêchés de prendre les mesures nécessaires à la conservation des biodiversités galactiques – celles à leur portée au sein de la Voie Lactée – dans des "banques" à cet usage), qu’"ils" ont laissé faire pour le dodo (mais même remarque), qu’"ils" ont laissé faire pour les dinosaures (mais même remarque ... si "ils" visitaient déjà la Terre à l'ère mésozoïque ?)

Nous pouvons également imaginer que certaines de ces exocivilisations ne nous ayant que rarement visités, voire une seule fois à l’occasion d’une "météo cosmique" exceptionnellement favorable leur permettant le voyage dans F* (cf. l’instabilité conjointe du MCG), aient effectué vis-à-vis de nous, Homo, >>> les mesures nécessaires à la conservation des biodiversités galactiques dans des "banques" à cet usage (cf. les récits des abductés que toute étude scientifique neutre, objective, sans a priori se doit de ne pas rejeter d’un simple et dédaigneux revers de la main).

Mais nous sommes là dans le domaine des spéculations, et je sais aussi spéculer (je me pense capable, pardon pour mon immodestie Embarassed , de pondre des scenarii de SF qui seraient phosphorés et "chiadés"), à distinguer de l’étude des faits d’observations et plus particulièrement et surtout des faits d’observations instrumentales.

Bien cordialement à vous Leia,

Jean Very Happy
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MessageSujet: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 3:02

Bonjour Jean,
pour reprendre mon dernier message, je disais donc que la personne qui m'avait "initié" à des informations concernant le sujet "OVNIs -extraterrestres" , avait parlé ( entre autres nombreuses choses ) de la non-detection d'éventuels moyens de propulsion des OVNIs , par les Americains qui ont récupéré des "epaves" , et parlé aussi , EN LIAISON AVEC CETTE PROBLEMATIQUE , du mode de déplacement dans l'espace , de ces memes "vaisseaux"...
Et franchement, Jean, " à la lumière" de ce qu'on m'en avait dit, en 1986 et 1987, j'ai toujours suivi avec interet vos explications sur les univers gemellaires, les feuillets F et F* , avec difficultés parfois,( n'etant pas un scientifique), MAIS dans l'ensemble, j'arrive à vous suivre dans vos démonstrations.Ouais !
Cette "personne amie" , qui m'a initié, savait donc beaucoup de choses sur les " OVNIs-Extraterrestres", et des revelations DE TOUS ORDRES, sur ce vaste sujet m'ont été faites.
Pour en revenir aux MODES DE DEPLACEMENT des OVNIs, en particulier, on m'en avait donc parlé ( en 1986) en termes ACCESSIBLES pour une personne comme moi, qui n'avait que des connaissances superficielles et parcellaires en cosmologie et matières connexes...
En abordant le sujet avec cette personne, j'ai appris que si les humains étaient plutot incrédules quand à la possibilité de "visites extraterrestres" ( vu les distance énormes entre planétes) , c'était parce qu'il existait des lois que les hommes ne connaissent pas.
Lois universelles , qui , comprises et bien utilisées, permettaient de RAPIDES VOYAGES interstellaires.
Il existe , m'avait-on dit, des " RACCOURCIS " dans l'espace .
Pour ces voyages, il fallait en passer par des DISTORSIONS ELECTRO-MAGNETIQUES.
Et aussi, qu'en terme general, "ils" ( les extraterrestres) ont recours à des EXTRAPOLATIONS SPACIO-TEMPORELLES, pour effectuer ces longs voyages.
C'est à peu près tout ce que l'on m'a dit sur ce sujet précis des voyages interstellaires.
Comme je l'ai déjà signalé, cette personne est aujourd'hui disparue , et à mon grand regret ( au dela de celui de sa disparition), je ne peux en savoir plus...
Ceci, pour les voyages "longues distances" , car d'autres modes de deplacement en "vaisseaux" , en liaison avec certains "pouvoirs psychiques" existent, m'avait-on dit, pour des voyages plus courts, voyages de "proximité"....
Mais c'est une autre histoire.
Tout ceci pour dire, Jean, que JE NE SAIS PAS SI les théories de voyages interstellaires que vous dévellopez ici, ( fruit des recherches des chercheurs et scientifiques que vous citez) sont absolument exactes, ou tout du moins " sur la bonne voie".
Mais j'aurais plutot tendance à penser qu'elles sont bien " sur la bonne voie".
La science " d'avant-garde" humaine sur "la bonne voie" de la théorisation des voyages interstellaires !?
On ne peut que se réjouir de cette perspective !! Ouais !
Cordialement,
Bien à vous, Valljean.Smile
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 7:29

Bonjour Valljean,

Je ne sais évidemment pas qui était la personne à laquelle vous faites allusion, ni d’où tenait-elle ses renseignements, ni même – pardonnez-moi – si les avait-elle imaginés ou si les détenait-elle d’un pouvoir surnaturel.

Au-delà, il faut se méfier de convergences du type de celles qui font croire à l’astrologie : on ne retient que ce qui colle.

L’on peut en effet croire à l’astrologie et se persuader de sa validité dès lors que l’on ne retient que ce que l’on veut retenir de thèmes astraux ainsi que d’horoscopes, et d’événements passés … ceci collant très exactement avec les calculs de probabilité comme cela a été montré lors d’expériences "randomisées en double aveugle" avec 2000 étudiants d’un campus universitaire américain, expériences dont les protocoles avaient été élaborés – difficilement ! – par des astrologues et des scientifiques concernant thèmes astraux et prédictions d’événements à venir.

Et en effet dans ce que vous rapportez d’une partie de vos conversations « en 1986 et 1987 » avec votre amie défunte, il est possible d’y trouver une certaine convergence avec certains éléments relatifs au Modèle Cosmologique Gémellaire et au modèle de déplacement envisagé pour les ovnis ainsi que concernant le transfert hyperspatial.

Je pourrais développer point à point ce que je viens d’écrire dans la phrase précédente, au risque de vous donner davantage encore à penser que cette personne fut initiée, quelque soient les acceptions que l’on puisse donner à ce qualificatif.
De toute façon, vous avez vous-même déjà noté certaines convergences et vous en noterez encore probablement d’autres dans les futurs posts que j’écrirai (sans doute en mettant à profit mes vacances en août ...) notamment en rapport avec le sujet créé par Serge concernant l’"ovni spiralé" observé en Chine le 24 juillet 1981.

Pardon, Valljean, pour la franchise certainement trop directe du rationaliste que je suis.

Bien cordialement à vous,

Jean Very Happy
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 10:56

Bonjour Jean

Vous dites :
Citation :
vous avez certainement mémorisé mon point de vue concernant :
- ce que je considère comme de vaines recherches concernant les "pourquoi ?" : une théorie explicative en terme d’intentions sociologiques des auteurs de ces visites est difficile à concevoir en raison de la disparité de niveau des consciences respectives

Je comprend qu'il est difficile de concevoir les intentions de nos visiteurs sur la base des niveaux de conscience qu'on peut leur prêter, mais rien ne nous empêche d'essayer car notre ignorance leur accorde peut être plus qu'ils ne sont.

Ils sont peut être justes comme nous mais simplement plus avancés technologiquement parce qu'issus de civilisations plus anciennes.
Par ailleurs, puisqu'ils paraissent nous ressembler physiquement selon bien des témoins, on peut supposer comme vous nous l'expliquiez précédemment que la vie a suivie le même processus d'évolution, tectonique des plaques ou pas, sur leur planète respective (à moins comme je me suis permis de l'imaginer dans un post précédent, que les multiples civilisations soit le résultat d'une seule et unique source de vie disséminée ensuite artificiellement).

Personnellement, je suis plus intéressé par la question de savoir quelle est la finalité de leur présence que de savoir comment ils font pour venir, car ce qui me préocupe c'est notre devenir à nous.
Imaginez que pour eux, notre évolution soit moindre que celle des singes pour nous, voir celle des rats.
Nous trouvons inhumain certaines pratiques chez nos voisins terrestres, qu'en serait-il de nos voisins d'outre espace ?
Que sommes nous à leurs yeux, quel coup de pouce peut-on attendre, vers quel genre d'évolution en admettant si tant est qu'elle soit viable pour nous ?
Il y a là sans doute des questions qui rejoignent les préocupations de énoch1.

Chacun devrait pouvoir choisir sa vie, un peu comme les indiens d'Amérique maintenant, se fondre dans le sillage de l'évolution d'une autre civilisation ou finir nos jours dans une réserve (pas forcément misérables) pour conserver nos particularités et notre identité de notre vivant.
Personne ne devrait décider pour nous, c'est pourquoi il est prudent à mon avis de connaitre la vérité et leurs dessins à notre égard.

Cordialement
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 15:37

Salut Romain,

Citation :
Chacun devrait pouvoir choisir sa vie, un peu comme les indiens d'Amérique maintenant, se fondre dans le sillage de l'évolution d'une autre civilisation ou finir nos jours dans une réserve (pas forcément misérables) pour conserver nos particularités et notre identité de notre vivant.

Je n'interviens pas sur ce fil car je suis en accord avec Jean. Comme Valljean si je suis incapable de faire une démonstration, j'ai en contre-partie assez bien saisi le raisonnement. Bravo ! Au point de pouvoir imaginer l'ensemble et y apporter quelques modifs personnelles qui font bondir JC. Ivre

Par contre, même si l'on sent un "ancien" qui, sur la quai d'une gare, hésite à monter dans le train parce qu'il n'est pas sûr de sa destination, je te rejoins sur cet aspect de nos échanges. Le seul où nous puissions émettre un avis même s'il est stupide. Embarassed

Mais l'exemple choisi et cité n'est à la portée que d'une civilisation riche et ayant de l'espace. Il faut également que ces cas particuliers restent marginaux, minoritaires et ouverts sinon l'on aboutit à l'immobilisme. Le train ayant de moins en moins de puissance et de plus en plus de wagons qui freinent finit par s'arrêter (ce fut le cas par le passé des civilisations indienne et chinoise qui, aujourd'hui, en larguant quelques wagons semblent repartir de plus belle). Siffloter

Cordialement
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 17:43

Bonjour,

je suis étonné de voir avec quelle insistance il faudrait comprendre et accepter que si les avancées scientifiques et technologiques viennent de l'analyse du coté "toles et boulons" du dossier OVNI, c'est que ces OVNI sont forcement en train de nous guider vers la bonne voie... Tout cela sans même avoir évoqué, un certain nombre de textes sacrés tel que le Mahâbhârata, ou encore, les tablettes sumériennes qui évoque, semble t-il, des expériences génétiques!

Bien cordialement
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 19:30

Salut énoch1

Citation :
je suis étonné de voir avec quelle insistance il faudrait comprendre et accepter que si les avancées scientifiques et technologiques viennent de l'analyse du coté "toles et boulons" du dossier OVNI, c'est que ces OVNI sont forcement en train de nous guider vers la bonne voie... Tout cela sans même avoir évoqué, un certain nombre de textes sacrés tel que le Mahâbhârata, ou encore, les tablettes sumériennes qui évoque, semble t-il, des expériences génétiques!


Tu oublies que Jean a déjà expliqué qu'il se concentrait sur les cinquante dernières années ainsi que sur le "comment" ces trucs que l'on voit (présent) dans le ciel peuvent venir chez nous (malgré les distances, la vitesse de la lumière, etc...etc...). Laughing
Etant le spécialiste apportant des explications en béton, nous avons tendance à aborder ce sujet plus que d'autres. Embarassed

Je suis actuellement sur la lecture de dossiers sur les tablettes et les dieux sumériens. Si je me sens suffisamment costaud (?) peut-être lancerai-je un fil sur ce sujet. Réfléchir
Nous aurions dû avoir avec "Téhuti" un spécialiste des archéo-ET, de la relecture de la Bible... mais il nous a fait faux bond. Malheureux
Et crois-moi je le regette bien. Triste

Toi aussi, histoire de changer un peu, au lieu de parler d'un futur incertain tu pourrais tenter de démêler les fils d'un passé que je pense de plus en plus avoir été trafiqué, occulté, dirigé ...? Boum !

Avec l'archéologie, la paléontologie, il y a aussi la biologie qui semble connaître les mêmes affres du dogmatisme que la physique et la cosmologie. L'inconvénient, pour vraiment en parler correctement, il faut qu'il y en ait au moins un dominant le sujet. confused


Cordialement
jlj
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 20:06

Bonjour Romain,

Citation :
Je comprend qu'il est difficile de concevoir les intentions de nos visiteurs sur la base des niveaux de conscience qu'on peut leur prêter, mais rien ne nous empêche d'essayer [...]
Effectivement et la meilleure vérification des essais se trouve sur tous les forums et dans les ouvrages dédiés à l’ufologie ... de la même manière que le Graal représente le mystère du christianisme et dont les essais sur sa recherche aboutissent à une révélation personnelle de la lumière du Christ (que les croyants en la tradition chrétienne me pardonnent).

Citation :
Personnellement, je suis plus intéressé par la question de savoir quelle est la finalité de leur présence que de savoir comment ils font pour venir, car ce qui me préocupe c'est notre devenir à nous.
Imaginez que pour eux, notre évolution soit moindre que celle des singes pour nous, voir celle des rats.
Nous trouvons inhumain certaines pratiques chez nos voisins terrestres, qu'en serait-il de nos voisins d'outre espace ?
Une fois encore les faits sont là qui témoignent de celui que la Terre n’a pas été colonisée, que l’espèce humaine n’est pas asservie, que les exocivilisations qui nous visitent le font avec une ingérence minimale ... en éthologues.

Une fois encore, si ces exocivilisations nous visitent c’est que, malgré leurs connaissances et technologies supérieures aux nôtres, elles ne se sont pas autodétruites ou entredétruites. Ceci est factuel !
Le niveau de conscience (= connaissance de soi, des autres et de l’environnement, c'est-à-dire : le cosmos dans son ensemble) de « nos voisins d'outre-espace » est différent du nôtre.

Citation :
connaitre la vérité et leurs dessins à notre égard.
Nous connaissons une partie de leurs desseins : celle de nous observer avec une ingérence minimale, celle de ne pas entrer en contact officiel au grand jour avec nous, celle de nous offrir "un jeu de cache-cache" afin de stimuler nos performances intellectuelles avec un problème qui n'excède que de peu nos capacités, celle de ne pas entrer en conflit avec nous ... leur défense étant la fuite, voire la disparition instantanée (dont une explication est apportée par le MCG >>> transfert hyperspatial dans F*)

Mais la vérité vraie, leur dessein fondamental ... nous ne les connaîtrons que lors d’un contact avec relation bilatérale, lorsque celui-ci et celle-ci n’engendreront plus un choc conceptuel qui aujourd’hui mettrait à mal l’équilibre précaire de nos organisations, de nos institutions, quelle qu’en soit la nature.

Citation :
Personne ne devrait décider pour nous [...]
C’est bien ce que font « nos voisins d'outre-espace ».

Cordialement,

Jean Very Happy
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 20:08

bonjour neandertal,

Citation :
[...] je suis en accord avec Jean. [...] y apporter quelques modifs personnelles qui font bondir JC. Ivre
Pardon neandertal, mais je ne saisis pas l’objet des sens contradictoires émis dans votre premier paragraphe.
Je n’ai d’ailleurs pas bondi à la lecture de votre post (... sauf pour « JC » avec sa connotation à laquelle je n’avais sincèrement pas pensé lors du choix de mon pseudonyme !)

Cordialement,

Jean Very Happy
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MessageSujet: Re: MISES AU POINT.   MISES AU POINT. EmptyVen 20 Juil - 20:11

Bonjour enoch1,

Citation :
je suis étonné de voir avec quelle insistance il faudrait comprendre et accepter que si les avancées scientifiques et technologiques viennent de l'analyse du coté "toles et boulons" du dossier OVNI, c'est que ces OVNI sont forcement en train de nous guider vers la bonne voie...
Votre étonnement s’adresse je pense au moins en partie à moi, aussi me propose-je de le tempérer.
Je n’ai jamais formulé que « les avancées scientifiques et technologiques viennent de l'analyse du coté "tôle et boulons" du dossier OVNI ».
Par contre que des avancées scientifiques et technologiques soient engendrées par l’étude scientifique de ce dossier : oui. J’en ai donné de nombreux exemples dans les domaines cosmologique, astrophysique, mécanique des fluides, etc.

Citation :
[...] c'est que ces OVNI sont forcement en train de nous guider vers la bonne voie...
L’expression, « au moins en partie à moi », utilisée ci-dessus prend ici encore davantage son sens car je n’ai jamais formulé cette déduction.
Je formule en effet que les exocivilisations qui nous visitent le font en éthologues avec ingérence minimale ... et non pas en guides, même si il n’est pas exclu qu’elles puissent un jour futur jouer le rôle de garde-fous.

Citation :
Tout cela sans même avoir évoqué, un certain nombre de textes sacrés tel que le Mahâbhârata, ou encore, les tablettes sumériennes qui évoque, semble t-il, des expériences génétiques!
Je n’empêche personne d’évoquer textes sacrés et tablettes (merci neandertal ! Wink ) tout en accordant ma préférence à l’étude de faits d’observations corroborés par des effets sur des appareillages, des instruments fonctionnant suivant différents principes physiques, c'est-à-dire faits s’étant produits depuis une soixantaine d’années environ.

Cordialement,

Jean Very Happy
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